graphique web objet
Auto-édition de livres
livres “animés”
design objet
- 2008
Effectuer un tour d’horizon à partir d’un siège de bureau comme on regarderait le paysage à partir d’un point nommé «belle vue». S’évader.
Diviser le tour accompli en un certain nombre de pages afin que le mouvement soit inscrit dans le livre. Une esthétique rigoureuse traduira le sérieux de la situation.
A cette balade à 360° dans un espace de travail viendra s’ajouter une composante à priori étrangère. Au fur et à mesure un rectangle coloré s’immisce par la droite venant troublé la lecture de l’espace. Le dessin et la couleur se chevauchent donnant à voir la superposition de deux espaces jusqu’à s’assembler à la dernière page.
La page que l’on tourne et qui se déploie, se développe bien au delà. C’est l’espace entre qui m’a interessé. Le moment où, la page à l’oblique contient encore mais sans retenir. Dans un sens l’espace se rétrecie, dans l’autre il se donne à voir de plus en plus. Un lien, une continuité inscrit par le sens de lecture.
Une pile par transparence, qui repose sur le bord de la dernière page. L’opacité accumulée de chaque feuille de papier estompe le dessin nous mettant à distance des pages à suivre.
Tourner une page équivaut à tronquer la pile, à la faire basculer de l’autre côté. Dans ce second espace la perspective s’inverse, elle devient fausse et la pile ne s’adosse plus, les chaises ne reposent plus...
Auto-édition de livres
livres “animés”
design objet
- 2008
Effectuer un tour d’horizon à partir d’un siège de bureau comme on regarderait le paysage à partir d’un point nommé «belle vue». S’évader.
Diviser le tour accompli en un certain nombre de pages afin que le mouvement soit inscrit dans le livre. Une esthétique rigoureuse traduira le sérieux de la situation.
A cette balade à 360° dans un espace de travail viendra s’ajouter une composante à priori étrangère. Au fur et à mesure un rectangle coloré s’immisce par la droite venant troublé la lecture de l’espace. Le dessin et la couleur se chevauchent donnant à voir la superposition de deux espaces jusqu’à s’assembler à la dernière page.
La page que l’on tourne et qui se déploie, se développe bien au delà. C’est l’espace entre qui m’a interessé. Le moment où, la page à l’oblique contient encore mais sans retenir. Dans un sens l’espace se rétrecie, dans l’autre il se donne à voir de plus en plus. Un lien, une continuité inscrit par le sens de lecture.
Une pile par transparence, qui repose sur le bord de la dernière page. L’opacité accumulée de chaque feuille de papier estompe le dessin nous mettant à distance des pages à suivre.
Tourner une page équivaut à tronquer la pile, à la faire basculer de l’autre côté. Dans ce second espace la perspective s’inverse, elle devient fausse et la pile ne s’adosse plus, les chaises ne reposent plus...












































©Fanny Boucharinc 2021